Quand on décide d’investir dans une imprimante, il est essentiel d’en connaître les caractéristiques car pour qu’elle soit rentable dans l’activité pour laquelle on l’achète, il faut que ses capacités puissent correspondre aux attentes. Une impression bâclée ou qui est si lente que le service désespère la clientèle, ce n’est pas le but. La résolution et la vitesse d’impression sont deux paramètres essentiels à considérer.
La résolution : une question de qualité
L’unité de résolution est le dpi, c’est-à-dire « dot per inch », ce qui signifie « points par pouce ». Il s’agit donc de la quantité de points placés par la tête de l’imprimante sur le support sur une distance de 2,54 cm. Clairement, plus ce nombre de points, c’est-à-dire la résolution, est élevé, plus de détail est affiché sur l’image imprimée. Nous venons toutefois de parler de la résolution dite optique car il y a la résolution dite interpolée aussi et qui n’est qu’une résolution améliorée artificiellement par ajout de pixels d’interpolation entre les pixels réels. Quelle résolution une imprimante devrait-elle avoir pour assurer une bonne qualité d’impression ? Pour obtenir des textes N&B clairs, il faut au moins 300 dpi et au moins 600 dpi pour des images couleur nettes. Chez un expert de l’impression numérique comme les Ateliers Cassandre, un spécialiste de l’impression grand format sur Paris, les imprimantes vont bien au-delà. Certaines vont jusqu’à 9600 x 2400 dpi pour l’impression couleur et jusqu’à 5760 x 1440 dpi pour l’impression N&B.
La vitesse : une question de débit
La question de vitesse d’impression est très importante pour une entreprise qui investit dans une imprimante puisque la rapidité à satisfaire les demandes en dépend. Cette vitesse est mesurée en ppm ou « pages par minute » si on parle de pages et en ipm ou « images par minute » si on parle d’images. De la plus rapide à la moins rapide, on a l’imprimante laser, l’imprimante jet d’encre et l’imprimante thermique. En moyenne, la première imprime 18 ppm, la deuxième 10 ppm et la troisième 1 ipm. Evidemment, ce débit d’impression dépend de ce qu’on a à faire à une impression couleur ou à une impression monochrome. Il est à noter que la vitesse peut quand même être gérée. Un réglage peut être fait au niveau du mode d’impression et du type de rendu souhaité. Aussi devrait-on demander au client ce qu’il souhaite à chaque fois. Il y a par exemple le mode brouillon et le mode noir et blanc qui n’ont pas d’exigences particulières.
A propos de la numérisation
Chez un spécialiste comme votre prestataire en impression grand format sur Paris, les Ateliers Cassandre, une imprimante est toujours professionnelle et souvent multifonction. Dans ce cas, il y a un autre critère à prendre en compte en en choisissant une et il s’agit de la résolution de numérisation. Pour scanner un document, cette imprimante sélectionne et enregistre un nombre donné de pixels pour chaque pouce de la surface de celui-ci et évidemment, plus le matériel peut capturer des pixels, plus sa fidélité en numérisation est grande et plus de détails pourront être restaurés sur un écran d’affichage. Cette résolution s’exprime en dpi ou plutôt en ppp (pixels par pouce). Une bonne résolution de numérisation est supérieure à 300 dpi pour du texte et supérieure au double pour une image couleur.
Plus une imprimante possède une résolution optique importante et une vitesse d’impression élevée, mieux elle est appréciée des utilisateurs et des clients. Néanmoins, le choix de la performance qui va naturellement être proportionnelle aux prix du matériel est à faire avec étude car des besoins habituels peux exigeants dans l’activité ou le lieu d’exploitation choisis peuvent ne pas justifier un investissement trop coûteux.